Né le 28 juin 1754 à Dole
Militaire
Membre d’une famille noble et aristocratique de Franche-Comté, il s’engage à 17 ans comme mousquetaire dans un régiment qui sera dissous en 1775 et revient alors dans sa famille. Déshérité pour son soutien à la révolution française, et chef de la garde nationale de Dole, il participe à la fête de la Fédération à Paris en 1790.
Après avoir repris du service, il sera adjudant-général chef de brigade, général de brigade mais se montre hostile à Napoléon dès le Consulat.
Il devra donner sa démission et mis en disponibilité puis en non-activité, ce qui lui laissera du temps pour se lancer dans la politique avec hélas deux échecs dont un à la mandature de député du Jura.
Après avoir tenté de mettre en place plusieurs conspirations qui échoueront, Claude-François Malet sera fusillé le 29 octobre 1812 après être passé devant le conseil de guerre.