Né le 22 septembre 1839 à Sampans
Artiste peintre
Élève d’Émile Signol (peintre religieux et d’histoire) et d’Ernest Hébert à l’école des Beaux-Arts, il obtient le prix de Rome en 1865 pour son œuvre, « Orphée aux enfers » l’une des plus belles reconnue dans le monde entier.
Le tableau figure au musée des Beaux-Arts de Dole avec un grand nu intitulé « Angélique attachée au rocher ».
L’artiste tient sa renommée de ses portraits de femmes (près de 300), ses nus ou ses scènes allégoriques et mythologiques.
Ces tableaux qui connurent le plus de succès (d’après les critiques de l’époque), furent les portraits de Madame Machard (1879), de la princesse Alexandra Troubetzkoi (1881), du général d’Espeuilles (1886), ainsi que les portraits réalisés à Rome, celui de Tony Robert-Fleury (1867) ou du compositeur Charles Lenepveu (1869).
Il a également peint quelques rares sujets religieux qui lui avaient été commandés par le Directeur des Beaux-Arts.
Les peintures de Jules Machard se trouvent aux musées de Dole, Besançon, Strasbourg, Chartres et Rouen